Avec l’introduction bientôt du nouveau passeport biométrique dans les trois pays membres de l’Alliance pour le Sahel (AES) à savoir le Mali, le Burkina Faso et le Niger, la diplomatie au sein ces Etats membres doit être beaucoup plus active pour faciliter la libre circulation de leurs ressortissants.
C’est l’avis de Balan Diakité, politologue, l’UEMOA reste une carte jouable.
Retrouvez son analyse à partir de 18h sur Radio Renaissance FM
Sory Ibrahim Maiga